Le développement mondial court vers une diversification des ressources financières et donc vers la rentrée d’argent provenant de plus sources. C’est un fait qui demande aux pays d’investir dans d’autres domaines comme le tourisme. Et là, des questions surgissent voulant savoir si le tourisme est un élément participatif au développement des nations et du monde.
Le tourisme aide-t-il à se développer ?
Lorsqu’on veut élucider cette affaire, il faut partir de plusieurs principes propres au tourisme. Grâce à ces principes, on comprendra mieux que le tourisme aide dans le développement. D’abord, le tourisme demande le déplacement de plus milliers de personnes voir de millions de personnes dans le monde chaque année avec pour objectif de connaître d’autres pays riches en culture et tout aussi beaux. Dans ces déplacements, les activités aéroportuaires sont favorisées et génèrent de l’argent. Ensuite, les autochtones eux aussi s’en sortent mieux, car les touristes achètent leurs produits, visitent les sites touristiques. On voit donc que les habitants sont satisfaits et même l’État central s’en sort bien, car des taxes sont perçues sur les produits achetés, les touristes visitent assez d’endroits qui sont sous couvert de l’État. Chaque citoyen des pays hôtes voit son pouvoir d’achat s’améliorer et ses revenus aussi.
Comment en faire un vrai vecteur de développement ?
Il ne faut pas se lever du jour au lendemain et se demander si le tourisme est un vecteur de développement, puis tirer de mauvaises conclusions sans aucun sacrifice. Pour que le tourisme soit le domaine privilégié des États, il faudrait que ces États y investissent de l’argent en modernisant les villes et centres de distraction, en améliorant les services des guides touristiques et des sites touristiques. Il faut aussi penser à rendre le pays attractif tout en faisant la promotion de la culture des différentes ethnies autochtones du pays. C’est ainsi que les touristes auront l’envie de venir.